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Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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David V.

Rendez vous rapide Très aimable et bonnes explications Je recommande vivement

Anna A.

Très professionnel Le travail est bien fait et DPE est établi rapidement après la visite. J'en suis contente

Elise

M. BEAUDON est professionnel et disponible. Lors de la réalisation du diagnostic, il prend le temps d'examiner le bien, pose des questions et reste ouvert pour échanger sur d'éventuelles interrogations. Lors de la remise du diagnostic, il reste également à l'écoute pour échanger sur ce dernier si cela s'avère nécessaire.

Activ'Expertise Reims Est

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À LA UNE
Comment lire un rapport de diagnostic amiante
21 novembre 2025

Comment lire un rapport de diagnostic amiante

Pourquoi le diagnostic amiante est essentielL'amiante, bien qu'interdit d'usage en France depuis 1997, continue de poser des risques dans de nombreux bâtiments anciens. Ce matériau, auparavant très répandu pour ses performances en isolation et résistance au feu, peut encore se trouver dans différentes parties d’immeubles, en particulier ceux construits avant l'interdiction. Pour garantir la sécurité des occupants et se conformer à la réglementation, il est nécessaire de faire réaliser un diagnostic amiante avant toute transaction ou intervention sur l’habitat.Les endroits où l’amiante est fréquemment détectéDans le cadre d'un diagnostic, le professionnel certifié examine de près certains éléments de construction connus pour leur propension à contenir de l’amiante. Voici trois des zones les plus courantes :L’isolation des conduits et équipements techniques : Les anciens systèmes d’isolation utilisés sur les réseaux de chauffage, tuyauteries ou dans les locaux techniques incorporent souvent un amiante particulièrement volatile sous forme de calorifugeages. Ceux-ci apparaissent généralement sous forme de manchons, de bandes fibreuses ou de résidus poudreux enveloppant les canalisations.Les éléments fabriqués en amiante-ciment : Les plaques ondulées, toitures, panneaux extérieurs et conduits commencèrent à intégrer ce matériau dès les années 1960. Visuellement, ces objets se distinguent fréquemment par leur couleur grise ou beige, leur texture rugueuse et la présence éventuelle de mousses ou de petites fissures.Les revêtements de sol anciens : Dans de nombreux logements des décennies 1960 à 1980, des dalles vinyle-amiante ainsi que des colles spéciales, elles aussi à base d’amiante, étaient employées. Ces carreaux sont généralement carrés, de couleurs sobres, et le niveau de risque augmente en cas de travaux affectant le revêtement.Comment reconnaître la présence d'amianteLe diagnostic repose sur une inspection rigoureuse des matériaux. Cependant, l’aspect extérieur ne suffit pas toujours à établir la présence d’amiante, car il n’est pas visible à l’œil nu. C’est pourquoi un échantillonnage suivi d’une analyse en laboratoire est parfois indispensable pour confirmer ou infirmer la présence de fibres dangereuses.L’expert détaille dans le rapport la localisation exacte des matériaux, leur nature, ainsi que leur état général. Il mentionne aussi l’éventuelle dégradation constatée, car des matériaux abîmés peuvent libérer des fibres nocives dans l’air, représentant alors un risque majeur pour la santé.Que contient un rapport de diagnostic amiante ?Le rapport transmis par le diagnostiqueur regroupe plusieurs informations clés :La liste des composants inspectés et, pour chacun, la présence ou l’absence d’amiante.L’évaluation de leur état de conservation afin de juger du danger potentiel.Des préconisations sur la surveillance, la réparation, le confinement ou l’élimination de matériaux identifiés à risque.Des conseils pratiques pour se protéger lors de futurs travaux ou pour informer des futurs occupants.Que faire après la réception du diagnostic ?Si votre rapport révèle la présence d’amiante, il est recommandé de suivre scrupuleusement les recommandations fournies et de ne pas entreprendre de travaux sans l’intervention d’un professionnel habilité. Dans certains cas, seule la surveillance régulière est conseillée, tandis que des actions plus importantes (comme le retrait ou le confinement) seront nécessaires si l’état des matériaux présente un véritable danger.Pour assurer la sécurité de tous, il est vivement conseillé de contacter une société spécialisée en diagnostics immobiliers, disposant de toutes les certifications nécessaires. Grâce à leur expertise, vous bénéficierez d’un accompagnement sur mesure et de conseils adaptés à votre situation.

Le permis de louer dans le Grand Est : protéger les locataires et améliorer le parc immobilier
Publié le 24 Octobre 2025

Le permis de louer dans le Grand Est : protéger les locataires et améliorer le parc immobilier

Dans la région Grand Est, comme dans d’autres régions, le permis de louer est un dispositif qui s’inscrit dans la lutte contre l’habitat indigne et la protection des locataires. Instauré par la loi ALUR, ce permis impose aux propriétaires souhaitant louer leur bien dans certaines communes d'obtenir une autorisation préalable avant toute mise en location.À quoi sert le permis de louer ?Ce dispositif vise à s'assurer que le logement proposé respecte les normes minimales de décence, de sécurité et de salubrité. Grâce à une autorisation délivrée par la commune après visite et contrôle, seuls les biens conformes peuvent être loués. En cas de non-conformité, le propriétaire doit réaliser les travaux nécessaires avant d'obtenir le feu vert.Comment ça fonctionne ?Dépôt de la demande : Le propriétaire effectue une déclaration et/ou une demande d’autorisation de mise en location auprès de la mairie de la commune concernée.Visite de contrôle : Un agent mandaté peut visiter le logement pour vérifier sa conformité.Autorisation ou refus : La mairie délivre, ou non, l’autorisation de louer. En cas de refus, la remise en location est interdite tant que le bien ne répond pas aux critères requis.Sanctions : Louer sans permis ou malgré un refus peut entraîner une amende pouvant aller jusqu'à 15 000 €.Quels bénéfices ?Pour les locataires : Un parc locatif plus sûr, plus sain, et le respect de leur droit à un logement décent.Pour les collectivités : Un meilleur contrôle et une responsabilisation des bailleurs, avec un effet positif sur la qualité du tissu urbain.Communes concernées par le permis de louer dans le Grand EstArdennes (08)Charleville-Mézières, Bogny-sur-Meuse, SedanAube (10)Romilly-sur-SeineMarne (51)SuippesMeurthe-et-Moselle (54)Bainville-sur-Madon, Blénod-lès-Pont-à-Mousson, Chaligny, Champigneulles, Chavigny, Dieulouard, Dombasle-sur-Meurthe, Frouard, Lay-Saint-Christophe, Liverdun, Malleloy, Marbache, Maron, Marthemont, Méréville, Messein, Neuves-Maisons, Pagny-sur-Moselle, Pierreville, Pompey, Pont-à-Mousson, Pont-Saint-Vincent, Pulligny, Rosières-aux-Salines, Saint-Max, Saint-Nicolas-de-Port, Sexey-aux-Forges, Thélod, Thil, Toul, Villerupt, XeuilleyMeuse (55)Bar-le-Duc, Commercy, Dun-sur-Meuse, Ligny-en-Barrois, Stenay, Thierville-sur-Meuse, Vaucouleurs, VerdunMoselle (57)Algrange, Anzeling, Apach, Audun-le-Tiche, Boulange, Bouzonville, Florange, Halstroff, Hayange, Knutange, Nilvange, Ottange, Serémange-Erzange, Sierck-les-Bains, Uckange, Vaudreching, Volmerange-les-MinesBas-Rhin (67)StrasbourgHaut-Rhin (68)Guebwiller, Sainte-Croix-aux-Mines, Sainte-Marie-aux-MinesAvant toute mise en location dans ces communes, renseignez-vous auprès de votre mairie pour connaître vos obligations concernant le permis de louer !

La nouvelle étiquette DPE 2026 changera-t-elle votre projet immobilier
Publié le 23 Septembre 2025

La nouvelle étiquette DPE 2026 changera-t-elle votre projet immobilier

Un changement notable dans l’évaluation énergétique dès 2026À partir du 1er janvier 2026, la façon de calculer le diagnostic de performance énergétique (DPE) en France connaîtra un tournant important. Ce changement repose principalement sur la modification du coefficient utilisé pour évaluer l’électricité, une décision qui pourrait avoir des répercussions concrètes sur la classification énergétique de nombreux biens. Concrètement, le coefficient d’énergie primaire appliqué à l’électricité va être abaissé de 2,3 à 1,9, comme annoncé par l’exécutif à l’été 2025.Cette évolution est loin d’être anodine pour le marché de l’immobilier : près de 850 000 logements chauffés à l’électricité pourraient voir leur note énergétique s’améliorer, quittant parfois les catégories F ou G, souvent désignées comme “passoires thermiques”. Certains logements, notamment les plus petits, pourraient même gagner plusieurs classes grâce à cette actualisation.Quels impacts sur les propriétaires et futurs acheteursLes conséquences de cette réforme sont multiples pour ceux qui détiennent ou souhaitent acquérir un logement. Sortir des classes les moins performantes peut faciliter la vente ou la location d’un bien, surtout dans un contexte où les réglementations environnementales, comme la loi Climat et Résilience, durcissent progressivement les conditions de location des logements les moins bien notés.L’amélioration de la performance énergétique affichée sur le DPE aura aussi la vertu de renforcer la valeur d’un bien immobilier. Pour les propriétaires, il s’agit donc d’une opportunité à anticiper, tant pour la location que pour la vente ou même pour des projets de rénovation visant à optimiser la performance du logement.Comment anticiper ces évolutionsAfin de mieux se préparer à ces nouvelles normes, il existe des outils gratuits et simples d’utilisation, comme ceux proposés par certains réseaux de diagnostiqueurs experts. Grâce à un simulateur en ligne, il est aujourd’hui possible d’estimer rapidement la future étiquette DPE de son bien selon les critères de la réforme 2026.Vérification de la nouvelle classe énergétique après changement de calculIdentification des biens toujours classés comme passoires thermiquesÉvaluation de la nouvelle valeur potentielle d’un logementCette approche proactive permet d’anticiper les éventuels travaux à engager ou de revoir sa stratégie en cas de projet de vente ou de mise en location.Accompagnement professionnel et valorisation du patrimoineOutre les outils de simulation, il est recommandé de solliciter l’avis de professionnels certifiés pour obtenir un diagnostic fiable et conforme à la législation. Ces experts peuvent fournir des conseils adaptés pour améliorer l’efficacité énergétique d’un logement, et accompagner les propriétaires tout au long de leurs démarches visant à valoriser leur patrimoine immobilier.En somme, la réforme du DPE prévue pour 2026 est susceptible de modifier significativement les perspectives immobilières, en particulier pour les habitations utilisant l’électricité comme mode principal de chauffage. Se tenir informé et utiliser des outils adaptés permet d’aborder ces changements en toute sérénité.Se projeter en toute confianceQue vous soyez propriétaire, vendeur, ou futur acquéreur, il est judicieux d’anticiper l’impact de la nouvelle étiquette DPE sur vos projets. Tester votre situation dès maintenant s’inscrit comme une démarche prudente pour intégrer sereinement les exigences de demain dans vos décisions immobilières.

DPE : pourquoi le calcul du coefficient électrique divise les experts
Publié le 07 Août 2025

DPE : pourquoi le calcul du coefficient électrique divise les experts

Une réforme du DPE qui fait débatÀ partir du 1er janvier 2026, la méthode de calcul du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) va connaître une nouvelle modification : le coefficient de conversion de l’électricité passera de 2,3 à 1,9. Cette décision, justifiée par une volonté d’harmoniser la réglementation française avec celle de l’Union européenne et de mieux refléter la part croissante de l’électricité renouvelable dans le mix énergétique, suscite cependant de vives discussions parmi les spécialistes du secteur.Des répercussions concrètes et controverséesDerrière cet ajustement technique, de multiples effets se profilent pour les propriétaires, les locataires et le marché immobilier :Les logements équipés d’un chauffage électrique verront automatiquement leur note DPE améliorée, sans qu’aucuns travaux ne soient requis.Près de 850 000 biens sortiront de la catégorie des passoires thermiques uniquement grâce à ce changement de calcul, sans réelle transformation de leur performance énergétique.Certains experts craignent une focalisation excessive sur l’électricité, au détriment de solutions hybrides ou alternatives comme les chaudières biogaz ou les réseaux d’eau chaude collective.La méthode risque également de brouiller la lecture du DPE pour les ménages, car le classement ne reflétera plus fidèlement les dépenses énergétiques réelles, généralement mesurées en énergie finale.Du point de vue des propriétaires bailleurs, la reclassification sans rénovation risque de limiter les incitations à entreprendre des travaux, affaiblissant la dynamique positive de ces dernières années pour la rénovation du parc existant.Des interrogations pour les professionnelsChez les diagnostiqueurs et artisans du bâtiment, l’annonce de ce changement suscite de nombreuses interrogations. Pour certains, cette mesure va à l’encontre de la logique de professionnalisation et d’amélioration continue, en valorisant artificiellement certains logements et en rendant moins lisible la vraie valeur des rénovations énergétiques accomplies. D’autres craignent une perte de confiance des ménages, désorientés face à des outils réglementaires qui évoluent trop rapidement ou qui semblent déconnectés de leur réalité quotidienne.Cette réforme pourrait également ralentir la transition vers un parc immobilier bas carbone, comme voulu par la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), si les propriétaires hésitent à poursuivre leurs investissements dans la performance énergétique.Vers plus de transparence et de stabilitéLa réussite de la rénovation énergétique repose sur des outils fiables, cohérents et partagés par tous les acteurs, particuliers comme professionnels. De nombreux experts appellent à une analyse collective et approfondie des conséquences de cette évolution, afin de garantir que le DPE reste un levier clair, efficace et équitable pour la transition énergétique.Dans ce contexte, le rôle de conseil et de pédagogie des diagnostiqueurs demeure essentiel pour accompagner les ménages et les investisseurs face aux changements à venir et permettre à chacun de comprendre les impacts réels de ces modifications sur la qualité thermique des logements.